M. le Conseiller Debû : Très rapidement, c’était juste profiter de cette délibération pour proposer une petite question. Face à l’accentuation des phénomènes climatiques violents -ce qu’on appelle des épisodes cévenols ou autres pluies un peu catastrophiques- c’était de voir si on pouvait retravailler ou, en tout cas, on estime qu’on a besoin de retravailler un plan global avec un audit et une évaluation de notre capacité à répondre à ces épisodes-là et donc une évaluation des risques d’inondations et notre capacité à y faire face. Voilà, je profitais juste du fait qu’on était sur le cycle de l’eau pour rappeler que, dans ce cycle, il y a aussi ces évènements et qu’il faut qu’on anticipe.
M. le Président : Merci. La parole est à la Vice-Présidente Anne Grosperrrin.
Mme la Vice-Présidente Grosperrin, rapporteur : Merci pour votre question. Effectivement, c’est une préoccupation forte et constante. Et toutes les modélisations actuelles et nouvelles de l’Agence de l’eau confirment effectivement qu’on va avoir à faire face à une alternance de sécheresses importantes et d’épisodes pluvieux intenses. Pour nous, cela va se traduire dans deux politiques. Une qu’on a déjà approuvée ensemble dans cet hémicycle qui est la stratégie ville perméable qui permet de répondre, effectivement, à un certain nombre de problématiques mais pas toutes. Et une autre, que nous allons soumettre, en 2023, au Conseil, qui est la stratégie GEMAPI (Gestion des milieux aquatiques et la prévention des inondations) qui apportera également un certain nombre de réponses.
Mais, bien sûr, que ce débat est ouvert parce qu’il va être, effectivement, un objet de préoccupation important dans les années à venir.
M. le Président : Merci.