Il faut entendre les inquiétudes populaires !

Notre système électrique n’est pas fragilisé par la guerre en Ukraine, mais par 20 ans de privatisation. L’inflation n’est pas née de la guerre en Ukraine, mais de la folie monétaire. C’est la domination des marchés qui fragilise la France, comme d’ailleurs nos collectivités. C’est pourquoi nous demandons que notre réponse à la crise de l’énergie soit la mise en œuvre de politiques qui protègent et qu’un travail de transparence soit demandé aux opérateurs des réseaux de chaleur sur leurs conditions d’achat de gaz.

À mi-chemin ou presque de notre mandat, nous devons réévaluer nos priorités : plus d’accompagnement des habitants, plus de solidarité, plus de soutien aux plus modestes, à la jeunesse et aux étudiants, plus de proximité et ce, grâce à un plan de renforcement de nos Maisons de la Métropole, de nos politiques sociales, de nos politiques pour l’insertion et l’emploi. Les solidarités protègent, non seulement ceux qui en bénéficient directement mais aussi tous ceux qui veulent une métropole du vivre-ensemble.

Demandons au Gouvernement la prolongation des tarifs régulés pour les particuliers et la possibilité, pour les collectivités locales, d’y retourner. Chiche !